Ou
Qui
s'y frotte s'y pique
Peu
de jardin se passent de rosiers, moi même je trouvait le
rosier surfait, pas souvent joli comme arbuste, tout en bois
raide, avec des fleurs un peu "plan-plan" . C'était
avant de mieux les connaître. On se laisse tenter, on en
achète un ou deux et s'en s'en rendre compte ils envahissent
les espaces libres (je dois en posséder près
de 250, pour quelqu'un qui n'était pas tenté!).
Il
faut dire qu'il en existe de toutes sortes. En général on
débute par les "modernes" aux grosses fleurs turbinées,
parfaites mais peu odorantes pour la plupart. Leur avantage
est de remonter (refleurir plusieurs fois dans la saison).
Puis
on se laisse gagner par les "anciennes", celles
que l'on trouvaient chez nos grands-mères. Au départ, juste
un pied, car elles sentent merveilleusement bon, ont un
petit air chiffonné rétro, malheureusement la plupart ne
fleurisse qu'une fois (mais beaucoup).
Heureusement,
les nouvelles roses chamboulent tout. Les anglaises de
l'anglais David Austin ont montré le chemin, bientôt suivi
par celles du continent.
Cette
fois vous pouvez avoir des roses parfumées, avec de belles
têtes lourdes de pétales et des fleurs toute la saison.
Que demander de mieux? certains les trouvent fragiles,
mais ma terre doit leur plaire, car les "petits" rosiers
ont des airs de grimpants.
Dilemme:
Des fleurs longtemps ou beaucoup en une fois, des aristocratiques à bouquet
ou du charme désuet, des parfums enivrants ou un choix
plus vaste de couleurs ?
A
vous de choisir ...
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grandes catégories de rosiers - l'entretien
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